•  Ci dessous lien à copier/coller dans un nouvel onglet - Film réalisé à 21 mètres de fond

    PE20: Plongée Encadrée à 20m sous le niveau de la mer, étendue jusqu'à 29m en Polynésie

    https://drive.google.com/file/d/0BwzcIIDE09yBcGxvQUJvb0NUWU0/view?usp=sharing

     

    La raie manta est une créature à la fois fascinante et gracieuse. Avoir la chance de la rencontrer en plongée est une expérience inoubliable. C’est le rêve de tout plongeur.
    Autrement appelée diable des mers ou manta ray en anglais, la « Manta » est un poisson cartilagineux. C’est une cousine éloignée des requins et des autres raies.
    La famille des raies peut se diviser en 2 groupes : les raies vivant sur le fond, comme les raies pastenagues, et les raies pélagiques, comme les raies manta, mobulas et raies-aigles.

     
    Plonger avec une Raie Manta

     

    Celle qui précisément nous intéresse est donc la manta. Cette espèce tient son nom du mot espagnol manta, ce qui veut dire manteau. C’est la plus grande des raies. Une légende raconte qu’en Polynésie, elle recouvrait de son large manteau les chercheurs de perles pour les noyer. En réalité, la raie manta est totalement inoffensive pour l’homme. R


    2 commentaires
  • 18 Septembre: SORTIE BALEINE

    Pour visualiser notre Film  copier/coller  le lien ci-dessous dans un nouvel onglet.

    https://drive.google.com/open?id=0BwzcIIDE09yBNmdiSm16MVpkUEE


    4 commentaires
  • Notre perception des choses de la vie et des valeurs auxquelles nous croyons est, ici , contrariée par de nombreux paradoxes.

    En effet, notre accueil depuis l'aéroport était digne d'un film...collier de fleurs, petite bouteille de monoï...On a vécu, 2 jours après notre arrivée à Bora, une journée très spéciale où on a pu se baigner avec des raies "léopard, aigle", des requins pointe noire et des poissons "perroquets, demoiselles, mérou, flûte..." Les enfants vont cueillir des noix de cocos et des mangues dans le jardin, "tonton guy" nous apporte ses produits maison à notre domicile. Notre voisin, pêcheur confirmé, nous offre de l'espadon frais. Nous pratiquons: plongée, va'a "pirogue locale et sport national", planche à voile, paddle, kayak....et pour cela nous bénéficions d'un cadre exceptionnel où toutes les activités prennent une dimension extraordinaire. Nous avons marché sur la barrière de corail qui sépare l'eau calme du lagon de l'immensité du Pacifique et bientôt nous allons observer les baleines.

                                                                                     

     Résultat de recherche d'images pour "photo polynesie"      Résultat de recherche d'images pour "photo polynesie"   Résultat de recherche d'images pour "photo polynesie"

     Pendant cette même période nous avons aussi fait le triste constat que la population locale est à 97% obèse et qu'il y a ici un réel problème de santé publique. Depuis 2002 près de 40 % de la population tahitienne est concernée par l’obésité alors qu’elle était de 19 % en 1986. Rappelons rapidement qu'avant la venue des premiers européens, avant la colonisation, les populations polynésiennes connaissent un régime alimentaire alterné par l’abondance et la disette. Ce phénomène n’est pas connu de cette seule région du monde, mais il produit ici une culture alimentaire valorisant particulièrement le surpoids, marqueur tant esthétique que de position sociale. Être gros, gras, c’est être imposant et plutôt beau. Manger, dans le cadre de cette alternance de « vache grasse » et de « vache maigre », fait de la profusion le lieu du plaisir autant que celui du stockage de longue durée par l’engraissement. Les jeunes adultes, plutôt socialement avantagés, font l’expérience d’un rite d’engraissement, le ha’apori, durant lequel une prise de nourriture continue, lourde mais légèrement liquéfiée, s’associe à l’absence totale d’exercice, durant des semaines, jusqu’à atteindre un surpoids considérable à la limite des difficultés respiratoires. Une forme d’engraissement utilisé probablement pour entreprendre les longs voyages marins des premiers polynésiens, du fait de l’impossibilité de conserver la nourriture sur de longues périodes. On perçoit ainsi la longue histoire culturelle qui nourrit la beauté de surpoids et l’expression du rang social d’une obligation à organiser des festins, parfois ruineux, ou chaque convive doit pouvoir ingérer la quantité de nourriture dont il a besoin, quelle qu’elle soit, pour atteindre le bien-être d’une sensation de satiété totale, presque définitive. Les changement de comportements alimentaires sont minces et lents, alors que la société traditionnelle a par ailleurs profondément changé du fait de la colonisation puis de la mondialisation. Tout au long des deux derniers siècles, les tahitiens ont vu leur consommation alimentaire se libérer de la contrainte des périodes de disette grâce à l’importation de produits agricoles. On peut ainsi manger en abondance tout au long de l’année, tout au long de sa vie. Une surconsommation qu’a aidé la conversion au christianisme en vidant de leur sens les rituels traditionnels de dons et de contre-dons et en éliminant des tabous alimentaires temporaires qui limitaient les excès. Favorisant, comme souvent, l’exacerbation des inégalités, la modernité économique, avec des aliments bon marché en profusion, a provoqué un engraissement continu des classes les plus défavorisées. Cette population reste en effet plus conservatrice des représentations traditionnelles du corps lourd et gras, et de la surconsommation alimentaire qui s’y associe. Les médias ne valorisent pourtant pas moins en Polynésie qu’ailleurs la culture occidentale du corps. Mais lorsqu’on considère l’impact de cette image de soi et de l’autre sur l’obésité occidentale, on comprend aisément que sa présence dans l’imaginaire des tahitiens n’y soit pas plus opérante.

    Il y a aussi, le tri qui n'existe pas, très peu de fruits, de légumes et le peu de production locale est "pesticidée"à outrance, très peu de variété de poisson et les meilleurs sont réservés et vendus aux hôtels luxueux qui font la renommée de l'île. Il y une route mais pas de trottoirs, beaucoup de chiens et de poules sont SDF,  beaucoup d'enfants  se rendent pieds nus à l'école avec des plaies ouvertes, des bobos infectés mais  pourtant l'accès aux soins est tout à fait possible. Ils disposent de seulement 15 minutes pour la pause déjeuner mais des roulottes sont autorisées dans les établissements scolaires. Les Fare "ou maisons" sont parfois insalubres et le nécessaire pour faire à manger n'existe pas toujours et malgré tout cela, les habitants souriants roulent en pick up! R

     

     

     


    votre commentaire
  • Bien évidemment depuis 1 mois 1/2 qu'on est arrivé, il s'est déjà passé un certain nombre de choses...plus ou moins qualificatives je dois avouer, et pour ceux qui rêvent de vivre ce qu'on vit,  pour ceux qui nous ont accompagné, de loin ou de près...il est inutile, au risque d'en décourager certains, de reprendre le chantier des jours passés depuis le mois de février!

    On reprend donc en images depuis notre arrivée à Papeete le 3/08/17....après 30h de voyage tout de même car c'est vraiment le bout du monde!

    Étals au Marché de Papeete

    Port de Papeete

     

    Port de Papeete 

    Bain de boue pour Noé sur la plage de Papara-Tahiti

    Bain de boue pour Noé sur la plage de Papara- "Mens sana in corpore san"

     

    Rafraichissement local aux pieds des arbres, l'eau de coco est particulièrement appréciée des stroumphs gourmands....

    Session surf  entre frèros, à Teahupoo.

    Végétation luxuriante à la Grotte de Mata Va'a.

    .....et finalement après une semaine à Tahiti....la perle du Pacifique, Bora Bora.

     Pour voir la vidéo de notre arrivée à Bora, copier/coller le lien ci dessous

    https://drive.google.com/open?id=0BwzcIIDE09yBWERNdXVhSGRpU28

    Vue d'un Motu. Prononcer motou, il a pour sens îlot . La plupart portent une faible végétation, notamment des cocotiers. Ces îlots de sable sont parfois mal stabilisés, et peuvent disparaitre ou se former à la suite, par exemple, d'une forte dépression. 

     

    16/08/17  Rentrée des classes placée sous le signe des changements de "codes"...

    ...mais certains sont universels!

     

    Notre logement....où à 2 pas de cela....

     

    ....activités dans le lagon

    Noé sur notre Va'a (pirogue polynésienne) à la plage de Matira

     

    Espadon de 300kg 

    Exploit de Damien, notre voisin, accroc de la pêche en Mer et qui nous a gentiment offert un généreux morceau que nous avons dégusté cru...un régal!  R

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Samedi 2/09/2017

    Titouan et moi avons fait notre baptême de plongée en bouteille.  Ce moment  a été magique pour nous. Le lagon si accueillant et l'eau si limpide ont fait de cette expérience un souvenir marquant. Titouan, le seul enfant ce jour là, a été impressionnant de sérénité. En effet, sans appréhension particulière, mon petit bonhomme concentré sur ses gestes s'est débrouillé comme un chef. Un moniteur pour nous deux, Max au centre de la photo, au top! Au milieu des poissons, du corail, dans cet aquarium géant, dans cette bulle d'eau turquoise on était juste bien. Après 1/2h de plongée, on est remontés sur le bateau heureux de vivre ce genre d'expériences pour lesquelles on est venus là, pour lesquelles tout ce qu'on a dû entreprendre en amont donne enfin du sens! Depuis, on  plonge régulièrement et je passe le niveau 1. R


    votre commentaire